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Photo du rédacteurDamien GUILLAUME

Religions et politique

La revue de presse Religions | Société des éditions Empreinte du 17 septembre 2019



Leemage/Mollona

L’épiscopat encourage les catholiques à protester contre le projet de loi sur la bioéthique

Une vingtaine d’associations, dont La Manif pour tous, ont appelé à défiler le 6 octobre contre le texte qui prévoit notamment l’extension de la PMA.


Le Collège des bernardins, à Paris, est en passe de devenir le cadre privilégié des relations entre l’Eglise catholique et la République macronienne.

Un an et demi après que le président de la République y eut mené une opération de séduction envers les catholiques et les eut encouragés à nourrir de leurs réflexions le débat sur la révision des lois de bioéthique, des figures de l’épiscopat ont exprimé, lundi 16 septembre, tout le mal qu’elles pensent du texte adopté samedi en commission par les députés, et qui viendra en séance publique à l’Assemblée nationale dès le 24 septembre.




 


En Israël, la place de la religion est contestée

C’était une première dans l’histoire d’Israël. Le 29 mai 2019, Benyamin Netanyahu avait échoué à former un gouvernement et fait voter la dissolution de la Knesset, (le Parlement), pourtant élue un mois et demi plus tôt. La crise est née du refus d’un de ses alliés, Avigdor Liberman, d’entrer dans sa majorité : il dénonçait les concessions faites au parti religieux, notamment sur une réforme du service militaire visant à incorporer plus de juifs ultra-orthodoxes.





 

Politique et religion : un entretien avec Jean Picq

La question d'une évolution de la loi de 1905 de séparation des églises et de l'Etat revient à intervalle plus ou moins régulier dans l'actualité. Ce sera le cas dans les mois qui viennent. Ronan Le Coz fait un état des lieux sur les relations entre politique et religion avec son invité, Jean Picq.





 


Quand l'Eglise sous-traite à l'Etat les deniers du culte


Publié le 15/09


La séparation de l'Eglise et de l'Etat semble une idée lointaine dans des pays en Europe où les administrations fiscales perçoivent l'impôt pour le compte des religieux.


L'Ancien Testament autorisait les prêtres à prélever une dîme sur les récoltes de leurs fidèles. Aujourd'hui ils peuvent sous-traiter cette tâche à l'Etat, souligne « The Economist ». Dix pays en Europe prélèvent ainsi le denier du culte pour le compte d'organisations religieuses. Au Portugal et en Espagne, les croyants peuvent même demander qu'une partie de leur impôt soit directement versée à la religion de leur choix. Dans six autres pays, il existe des systèmes dérogatoires où les membres déclarés d'Eglise chrétienne et d'autres groupes religieux sont obligés de payer un impôt. La seule façon souvent d'en sortir est l'apostasie. Ce qui n'est pas toujours facile. En Allemagne, il faut même remplir un acte notarial auprès des autorités locales en payant une commission pour se dégager de l'impôt du culte.




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